C'est l'histoire d'un homme Part II - Le nouveau EP de Naren

Nous l’avions quitté à la fin du 1er volet de cette trilogie, « allant toujours vers l’avant jamais en arrière, plus de doute, que l’amour et le partage, plus de bruit, silence absolu », Liberté le chant de mon cœur. 

Lundi s'est ouvert le second volet de l’histoire de cet homme, ou va-t-il nous mener ?

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J'IRAI PARTOUT

Quelques notes de guitares légères mais bien appuyées, puis la voix arrive. Elle nous surprend, elle est grave, solide, enracinée, elle a comme grandit entre ces deux productions.

La chanson commence par la quête, dans les doutes et les soupirs. Une rencontre se fait, l’invitant à aller au-delà, bien au-delà des limitations, aller au-delà pour voir, et découvrir que la lumière est là en soi, qu’en la partageant elle devient cette force d’amour qui se déploie et s’apercevoir enfin qu’il n’y a pas de différence en face de nous. J’irai partout nous entraine au-delà de ce que nous pouvons croire, élargir notre vision à l’infini, être autonome en soi et avec soi.

J’irai partout est le 1er titre du deuxième EP de Naren disponible sur toutes les bonnes plateformes !

2021 À CALCUTTA

De là, nous entrons en 2021, mais en 2021 à Calcutta, explosion absolue ! La création sous nos yeux, une danse comme un ruban d’eau qui déferle de sa source jusqu’à l’océan.

L’une des solutions au fracas du monde? savoir qu’il naît des hommes capables d’apporter du réconfort, de la lumière dans cet univers si souvent dur, froid, matérialiste et impersonnel.

« 2021 à Calcutta » c’est un pur voyage dans l’espace-temps infini, ou le cœur est ouvert et libre comme l’éther. L’unité dans la diversité, chacun sa route mais le monde est un. On imagine un lever de soleil sur les ghâts de Calcutta au premier matin de 2021.

2021 s’ouvre, comme un sésame sur un champ de tous les possibles. Une silhouette que l’on devine frêle mais puissamment lumineuse plane sur la chanson, un être solide et serein qui incarne la force d’amour. On a envie de suivre cet être et recevoir cette force de lumière. On a envie de croire qu’un peu partout sur cette planète il y a des êtres singuliers qui veillent comme une veilleuse veille sur les enfants la nuit. Que serait sans lui 2021 ? Derniers mots de la chanson qui pourrait tourner en boucle et reprendre le refrain sans fin : chacun sa route mais le monde est un …

SAUVE-TOI

À la fin de cette explosion de joie profonde qu’est 2021 à Calcutta, on se dit ça y est c’est bon on y est : sauvé !

Et arrive le 3ème titre et là, gros coup de frein, trace de pneu sur la route, point d’interrogation en cascade, que se passe t il ? Ambiance plombée, Les cordes renforcent l’atmosphère lourde, la guitare en boucle insiste, un sifflement des bas fond nous fait sursauter ! Le gars est perdu sur un bateau qui coule,  dans le monde de l’apparence, de l’argent et du pouvoir, pire il y est né ! sa vie ressemble à un mauvais film. Une seule chose à faire : Sauve-toi vers un idéal, regarde vers le haut d’où surgit une perspective lumineuse ! c’est de l’obscurité que l’espoir est né, nous voici reparti les yeux fixés vers l’horizon. Les pies nous l’ordonnent et veillent en fin de chanson. La voix profonde est nette tranchée, pas de discussion possible, la solution est de se Sauver non pas fuir, mais de se sauver par le haut quelque soit nos appuis, Bouddha, Jesus, Allah, Rumi ou Kabir, l’essentiel c’est Sauve-toi ! sinon les pies nous attendent là dehors … elles aussi sont déterminées, au choix couler ou regarder vers le haut s’en sortir ?

SAUVE-TOI

À la fin de cette explosion de joie profonde qu’est 2021 à Calcutta, on se dit ça y est c’est bon on y est : sauvé !

Et arrive le 3ème titre et là, gros coup de frein, trace de pneu sur la route, point d’interrogation en cascade, que se passe t il ? Ambiance plombée, Les cordes renforcent l’atmosphère lourde, la guitare en boucle insiste, un sifflement des bas fond nous fait sursauter ! Le gars est perdu sur un bateau qui coule,  dans le monde de l’apparence, de l’argent et du pouvoir, pire il y est né ! sa vie ressemble à un mauvais film. Une seule chose à faire : Sauve-toi vers un idéal, regarde vers le haut d’où surgit une perspective lumineuse ! c’est de l’obscurité que l’espoir est né, nous voici reparti les yeux fixés vers l’horizon. Les pies nous l’ordonnent et veillent en fin de chanson. La voix profonde est nette tranchée, pas de discussion possible, la solution est de se Sauver non pas fuir, mais de se sauver par le haut quelque soit nos appuis, Bouddha, Jesus, Allah, Rumi ou Kabir, l’essentiel c’est Sauve-toi ! sinon les pies nous attendent là dehors … elles aussi sont déterminées, au choix couler ou regarder vers le haut s’en sortir ?

LE CHEMIN

Que nous réserve donc le dernier titre ? …

C’est limpide d’entrée, Suivez votre chemin, il vous guide ! Très bien

Nous voilà propulsé sur Le chemin, le nôtre, la direction est claire, l’énergie explose à nouveau. La nécessité de défricher pour avancer, rencontrer cette intime conviction qu’il nous guide si nous nous en remettons à lui et plonger avec cette confiance infinie. La composition est sèche, tranchée, elle nous pousse. La voix explose, accélère, la musique aussi, on est limite à courir puis ça se calme et ça repart enfin le message semble intégré, le rythme s’adoucit la voix aussi, l’expérience est intégrée.

Le Chemin... Où nous mènera-t-il ? sans aucun doute au 3ème opus de l’histoire de cet homme qui semble être un peu de la notre … belle écoute

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