Naren

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Naissance d’un musicien
Né dans un univers artistique, un père auteur et producteur à grands succès, une mère programmatrice radio, directrice artistique au label Vogue et astrologue, pour Naren le défi était immense.
Bercé par la pop des années 80, le grunge le percute à l’adolescence et la French Touch flirtera avec lui à la vingtaine, avec toujours en arrière fond le rock des années 70. Il tente de passer devant le micro, la référence paternelle balaiera cet essai d’un revers de main. Comme une gifle qui laissera longtemps à Naren le gout de l’échec. A défaut de chanter il se noiera dans la composition et la guitare.

10 ans de tournées
Guitariste à 14 ans, professionnel à 20 ans, Naren enchaîne les tournées auprès des plus grands. Les Zenith, Bercy et autre palais des congrès de France n’ont plus de secrets.
En 1992 il monte son premier home-studio d’enregistrement, son 1er groupe en 1993 et crée sa première maison de production d’artistes interprètes pour lesquelles il compose et arrange les morceaux, en 1996.

La chute
Entre les plateaux télés, les concerts qui s’enchainent, les nombreux projets musicaux la décénnie 90 défile pour Naren. Le rythme le poussera dans des conduites addictives importantes pour aller toujours plus loin, tenir toujours plus jusqu’à se noyer dans ce monde de la fête. A la fin de la décennie c’est la chute, remise en question, 1ère dépression, crise de sens.
Avec la peur de se perdre dans cette maladie moderne de mettre son ego en avant, Naren sort de ce système, s’installe dans un ashram, se désintoxique, met de l’ordre dans sa vie, se met au service des autres et stoppe son ego. Il devient solide, se transcende, prend le risque de s’exprimer. Aujourd’hui il ne sait rien faire de mieux, corps, cœur et âme sont calés, alignés.

Renaissance
En 2004 création du duo Naren & Sarada aux tonalités pop, rock, folk, de chant dévotionnel et inter-religieux. Naren compose, arrange et peu à peu écrit des textes. Avec leurs deux albums, entre festivals de yoga et scène alternative, ils feront le tour de la planète

Interprète solo
Les textes affluent. Des textes intimes qui témoignent de son vécu, d’expériences de transformations intenses, l’évidence de les chanter s’impose. La pandémie nous enferme, la chanteuse du duo est indisponible, Naren met à profit ce temps pour développer son projet solo.
 « Rendre possible l’impossible » est sa devise, Naren décide de produire 3 EP dans lesquels il composera, arrangera sur ses textes mais aussi sur des inédits de Jean Michel Rivat, son papa.
Durant ces longs mois de pandémie, jours après jours Naren travaille sa voix méthodiquement. Le chanteur trouve sa place auprès du compositeur et du parolier.
Des textes qui affichent clairement ses questionnements philosophiques et spirituels, sa quête de liberté, la folie, la dépression qui le saisit, ses doutes, ses peurs, le pardon mais aussi sa force, sa recherche de l’amour désintéressé, la joie que la créativité apporte pour oser être soi …
Son identité s’affirme, sa texture se transforme au fil des compositions, ses textes parlent en ligne directe à l’âme.

Ces compositions sont inspirées par les vibrations positives de la vie de l’esprit. Il ne carbure plus ni à l’alcool ni à la drogue ni au sexe, mais à la méditation ! Lever 5h30 tous les matins, il se shoote à la pratique méditative guidée par les plus grands maîtres.

Aujourd’hui Naren sort son 1er album tout en animant Radio Gandharva Gana. 1ère radio védantique entièrement financé par les dons avec une équipe de 20 bénévoles. Radio ouverte à toutes les traditions et spiritualités, un pont entre les sagesses d’orient et la culture d’occident.

Naren est un chercheur, un chercheur de l’âme, il cherche à la rencontrer, la toucher, l’épouser. Ses chansons se méritent, il faut être un brin curieux et courageux pour entrer dans son 1er album « C’est l’histoire d’un homme »

« La création nous emmène dans une conscience supérieure, et cela nous apporte la joie quelle que soit notre condition. C’est la joie qui tient la vie. Si la joie n’est pas là où est la vie ? » extrait de L’Optimisme Juin 2022

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